Le numéro d’identification national est la référence unique d »un modèle de véhicule
C’est en 1994, que l’union européenne a planché sue la mise en place d »un code permettant d’identifier un type de véhicule, quelque soit l’état membre dans lequel le fabricant est domicilié. Celui-ci se trouve en D.2.1 sur les nouveaux certificats d’immatriculation.
Un peu d’histoire
Pour chaque réception communautaire (import / export de véhicules), le CNIT reprend le type, la variante et la version du véhicule. En effet, depuis 1995, le Centre national de réception des véhicules (CNRV) oblige les constructeur à utiliser ce référentiel qui fut amélioré au fil du temps. Par exemple, en 1998, la codification a évolué par supprimer les modifications mineures. Elles sont désormais rapportées au même CNIT en cas de changements non impactant sur le véhicule.
Comment se structure le code national d’identification du type ?
Ce numéro d’identification est composé de 12 à 15 caractères : chiffres et lettres. Il est moins précis que le type Mines mais délivre de nombreuses informations sur le véhicule telles que :
- le type d’énergie et de la transmission utilisée sur le véhicule
- une tranche de puissance moteur
- le code de la carrosserie
En France, le code national d’identification du type tend à être remplacé par le type nime, notamment pour trouver des pièces détachées.